
Les mouvements citoyens africains face aux despotes de nos républiques par Malang Mané
Considéré comme une forme de contestation violente, l’activisme c’est le biais par lequel les jeunes affrontent les pouvoirs publics. C’est à travers des discours révolutionnaires ou des actes de défiance qu’ils dénoncent certains faits. Aujourd’hui On note de plus en plus une vague déferlante d’activistes en Afrique et surtout dans la diaspora. Beaucoup d’entre eux sont des jeunes. Malang Mané nous commente ce fait de société
Dans un contexte sociopolitique marqué par la cherté de la vie, des coupures d’électricité, des scandales financiers et de la mal gouvernance, le mouvement Y’en a Marre, un groupe de rappeurs et de journalistes, créé en janvier 2011, avait lancé les bases d’ une révolution au Sénégal pour protester contre l’inefficacité du gouvernement.
Après une décennie d’existence, le mouvement a fait des émules dans beaucoup de pays africains comme le Burkina avec le Balai Citoyen , le Congo avec Lucha et le mouvement Filimbi , le Mali avec le Sofas, le Togo avec Athiame , etc.
Le système de gouvernance installé et entretenu à la tête de l’État, fondé sur le népotisme, le clientélisme politique, la corruption de l’impunité avait fini de saper les fondements de la République, pervertir les valeurs et la morale sociale et diviser les nation sénégalaise.
L’incapacité de nombreux gouvernements africains à accomplir et fournir des services à leurs citoyens a contribué de manière significative à la montée des tensions. Les jeunes se radicalisent contre le troisième mandat, la pratique honteuse de la transhumance politique, le bicéphalisme socilae, la gabégie…
Malgrè toutes les ressources naturelles ( de l’ or , du cuivre , de la bauxite, du fer , du coltan …) qu’ elle possède, le continent africain, les populations continuent de vivre dans une paupérisation extrême. L’ exemple de Sabadola, une zone orifère se trouvant au Sénégal orientalen est une parfaite illustratio. Labàs les populations rient jaune.
Aujourd’hui, le pêcheur Sénégalais doit vivre de sa pêche. Le cultivateur ivoirien doit vovre de son cacao.
Ceci est un grand paradoxe. L’ Afrique l’ un des continent les plus riches, mais l’ une des populations les plus pauvres . On doit réclamer la liberté politique et économique du continent.
Tant que nos dirigeants seront à la solde de l’ occident nous allons davantage connaitre l’ immobilisme économique. C’ est pourquoi, je trouve très noble les lavendication des mouvements citoyens en afrique qui travaillent pour l’ éveil des conscience.
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